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Eglise Saint-Jean-Bosco
Arch. Dumitru Rotter - 1933/1937.
79 rue Alexandre Dumas.
Façade béton revêtu d’enduit blanc. Un escalier d’accès à 2 niveaux et double volée. Un clocher de 53 mètres visible de tous le quartier, flanqué de 2 tourelles percées de claustras. Elles abritent les escaliers intérieurs.
On ne peut nier une forte inspiration de Notre-Dame du Raincy.
79 rue Alexandre Dumas.
Façade béton revêtu d’enduit blanc. Un escalier d’accès à 2 niveaux et double volée. Un clocher de 53 mètres visible de tous le quartier, flanqué de 2 tourelles percées de claustras. Elles abritent les escaliers intérieurs.
On ne peut nier une forte inspiration de Notre-Dame du Raincy.
Immeuble de logements
Arch. François-Adolphe Bocage 1905.
95, avenue Gambetta.
Cet immeuble de rapport de 7 étages dispose d'une façade en brique ornée de grés flammé que l'on retrouve essentiellement sous forme de frises dans les soubassements du 1er et 5ème étage et sur les oriels. Le fronton de portail est agrémenté d'une salamandre sur des feuilles de nénuphar.
95, avenue Gambetta.
Cet immeuble de rapport de 7 étages dispose d'une façade en brique ornée de grés flammé que l'on retrouve essentiellement sous forme de frises dans les soubassements du 1er et 5ème étage et sur les oriels. Le fronton de portail est agrémenté d'une salamandre sur des feuilles de nénuphar.
Immeuble de logements
Arch. F. Borel, 1999
Rue des pavillons x rue Pelleport.
Un édifice posé sur une petite parcelle d’un carrefour, dans un quartier très hétérogène de par son relief et ses constructions. Difficile de dialoguer avec les éléments alentours, alors l’architecte qui excelle dans l’architecture fragmentée et sculpturale, conçoit cet immeuble étonnant fait de vides et de pleins très opposés. Les blocs de logements, les tourelles d’ascenseur et d’escalier sont compressées les un contre les autres.
Un conception organiciste, faisant penser à une fleur avec son pistil et ses corolles. Les parois composées de fragments de mur viennent, telles des pétales,se replier autour d’un noyau que l’on devine à peine.
Situé au carrefour de plusieurs rues, chaque façade joue une fonction différente, une façade lisse pour marquer la perspective et une façade audacieuse et spectaculaire composée de plaques verticales posées des pièces de mikado. La couleur vient renforcer la géométrie et plasticité de l’édifice.
Rue des pavillons x rue Pelleport.
Un édifice posé sur une petite parcelle d’un carrefour, dans un quartier très hétérogène de par son relief et ses constructions. Difficile de dialoguer avec les éléments alentours, alors l’architecte qui excelle dans l’architecture fragmentée et sculpturale, conçoit cet immeuble étonnant fait de vides et de pleins très opposés. Les blocs de logements, les tourelles d’ascenseur et d’escalier sont compressées les un contre les autres.
Un conception organiciste, faisant penser à une fleur avec son pistil et ses corolles. Les parois composées de fragments de mur viennent, telles des pétales,se replier autour d’un noyau que l’on devine à peine.
Situé au carrefour de plusieurs rues, chaque façade joue une fonction différente, une façade lisse pour marquer la perspective et une façade audacieuse et spectaculaire composée de plaques verticales posées des pièces de mikado. La couleur vient renforcer la géométrie et plasticité de l’édifice.
Fondation Amicie Lebaudy
Arch. Auguste Labussière, 1913
1-7 Rue d’Annam.
Fondation Amicie Lebaudy (anciennement Groupe des Maisons Ouvrières)
Ce groupe créé en 1899 avait pour objectif de construire des habitations à bon marché. Amicie Lebaudy, riche héritière va dynamiser le groupe en injectant sous anonymat de l’argent pour son fonctionnement.
En 1906, le groupe devient une fondation reconnue d’utilité publique et pendant une une décennie sera à l’origine de la construction de 7 HBM à Paris.
À la disparition de sa bienfaitrice il prendra le nom de Fondation de Madame Jules Lebaudy puis désormais Fondation Amicie Lebaudy.
Dans cet HBM, l’architecte, pionnier de l’habitat social, se fait l’écho du mouvement hygiéniste de l’époque (cours aérées, briques, mosaïque, laverie)
Par contre un bâtiment des années 60-70 dépasse en hauteur le site et des ascenseurs ont été ajoutés aux bâtiments côté cour et rue. Ces interventions viennent polluer et abîmer la qualité patrimoniale de l’ensemble.
1-7 Rue d’Annam.
Fondation Amicie Lebaudy (anciennement Groupe des Maisons Ouvrières)
Ce groupe créé en 1899 avait pour objectif de construire des habitations à bon marché. Amicie Lebaudy, riche héritière va dynamiser le groupe en injectant sous anonymat de l’argent pour son fonctionnement.
En 1906, le groupe devient une fondation reconnue d’utilité publique et pendant une une décennie sera à l’origine de la construction de 7 HBM à Paris.
À la disparition de sa bienfaitrice il prendra le nom de Fondation de Madame Jules Lebaudy puis désormais Fondation Amicie Lebaudy.
Dans cet HBM, l’architecte, pionnier de l’habitat social, se fait l’écho du mouvement hygiéniste de l’époque (cours aérées, briques, mosaïque, laverie)
Par contre un bâtiment des années 60-70 dépasse en hauteur le site et des ascenseurs ont été ajoutés aux bâtiments côté cour et rue. Ces interventions viennent polluer et abîmer la qualité patrimoniale de l’ensemble.
Paris 20ème
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